Un nouvel an avec des liqueurs bio et artisanales avec la maison 16

La proposition de Cesar Triouleyre

Elles sont faites à Saint-Marcellin-en-Forez, et sont entièrement artisanales de la cueillette jusqu’à la mise en bouteille. Cesar Triouleyre, le créateur et dirigeant de l’entreprise, recommande certains produits en particulier : « le mieux c’est de proposer une petite sapinette, une petite florette ou une Serpolette. C’est fait à partir de plantes sauvages et locales. La sapinette c’est aiguilles et bourgeons de sapins donc c’est un goût de sève, légèrement d’agrumes. La serpolette c’est une liqueur de thym serpolet, donc de thym sauvage. On est vraiment sur les arômes du thym avec un côté plus herbacé et sauvage. La florette c’est fleur de sureau et Reine-des-prés, c’est une liqueur pas trop alcoolisée, pas trop sucré. Pour la fleur de sureau c’est un goût exotique, pour la Reine-des-prés c’est amande-miel. »

Les premiers prix sont au alentour de 4-5 euros pour des bouteilles de 4cl. Les bouteilles de 20cl coûtent 17 euros et les bouteilles de 50cl coûtent 30 euros.

Les idées de cocktails

Cesar Triouleyre, le créateur et dirigeant de l’entreprise, recommande certains cocktails en particulier : « à chaque fois que l’on propose une bouteille, on a des suggestions. On peut les boire en digestif ou en apéritif. En digestif plutôt pur et en apéritif en cocktail. Il y a des choses simples à faire avec du Tonic, le plus connu c’est le Schweppes ou avec de l’eau gazeuse ou du vin pétillant. Les cocktails l’avantage c’est que ça ne va pas dénaturer le produit. On a quand même les arômes des plantes et des liqueurs artisanales mais ça vient les allonger, enlever un petit d’alcool et peut-être un petit peu plus de sucrosité. » 

L’abus d’alcool est dangereux pour la santé à consommer avec modération.

Une production locale, artisanale et issue de l'agriculture bio

« On fait la cueillette nous-mêmes, sur la totalité des trois liqueurs, à 100% pour la sapinette pour les deux autres la florette et la serpolette on travaille avec aussi avec des cueilleurs qui nous fournissent un petit peu de plantes. Ensuite on fait des macérations à Sury-le-Comtal et ensuite on fait ce qu’on appelle une réduction c’est-à-dire que l’on vient réduire le degré alcoolique et on rajoute de l’eau et un petit peu de sucre, du sirop. Ensuite on a une étape de sucrassions, puis embouteillage, étiquetage et on va livrer nos clients ! »