ASSE 0-3 Nice : un air de révolte...seulement en tribune !
25 septembre 2021 à 21h45 par Anthony Verpillon
Cinquième défaite de suite pour les Verts et Claude Puel. Les supporters, très (trop) patients jusqu'ici ont montré leur exaspération. Les premiers "Puel démission" sont descendus des tribunes...
Cette fois, on attendait une réaction à une semaine du Derby. Il n'en a rien été. Reparti avec une défense à 3 (Sow, Moukoudi et Nadé) qui ne satisfait pas depuis trois matchs, les Verts étaient rapidement dominés par les hommes de Christophe Galtier. Mais ni Kamara (1'), ni Gouiri (6') ne parvenaient à battre de près Bajic. On se prenait alors à rêver que ce soit les Stéphanois qui ouvrent la marque. Mais malheureusement, aucune action ne venait, et Gouiri, impliqué sur 7 des 14 buts niçois marqués depuis le début de la saison, inscrivait son cinquième buts sur un coup-franc détourné involontairement dans sa cage par Camara (0-1, 15'). Et face à la justesse technique niçoise, les Verts ne parvenaient pas à répondre, ni par les têtes de Krasso (26') et Bouanga (42'), ni par la calamité technique des Verts. Comme sur cette attaque à 2 contre 1, complètement gâchée par un centre loupé par Bouanga.
En seconde période, Nice profitait de la bévue de Bajic, pour permettre à Stengs de doubler la mise (0-2, 53'), puis de la passivité de la défense verte pour que Delort inscrive son quatrième but de la saison (0-3, 83').
La véritable interrogation à l'issue de cette rencontre, est de savoir si la colère affichée par les supporters aura une suite. C'est d'abord tout un symbole d'entendre les premiers "Puel démission" intervenir lors d'un retour de Christophe Galtier dans le Chaudron. Ensuite, les deux présidents ont été visés par des banderoles, tout au long de la rencontre, dont certaines très dures à l'encontre de Roland Romeyer. Alors comment ce mécontentement sera-t-il accueilli par le groupe stéphanois ? On a une nouvelle fois vu des échanges musclés avec les joueurs, au bas des tribunes à la fin du match.
Il faudra réagir dès dimanche prochain, pour le Derby dans le Chaudron. Sous peine que la situation devienne vraiment intenable pour les principaux acteurs de cette descente aux enfers.
Dominer (à la possession), n'est toujours pas gagner !
Cette fois, on attendait une réaction à une semaine du Derby. Il n'en a rien été. Reparti avec une défense à 3 (Sow, Moukoudi et Nadé) qui ne satisfait pas depuis trois matchs, les Verts étaient rapidement dominés par les hommes de Christophe Galtier. Mais ni Kamara (1'), ni Gouiri (6') ne parvenaient à battre de près Bajic. On se prenait alors à rêver que ce soit les Stéphanois qui ouvrent la marque. Mais malheureusement, aucune action ne venait, et Gouiri, impliqué sur 7 des 14 buts niçois marqués depuis le début de la saison, inscrivait son cinquième buts sur un coup-franc détourné involontairement dans sa cage par Camara (0-1, 15'). Et face à la justesse technique niçoise, les Verts ne parvenaient pas à répondre, ni par les têtes de Krasso (26') et Bouanga (42'), ni par la calamité technique des Verts. Comme sur cette attaque à 2 contre 1, complètement gâchée par un centre loupé par Bouanga.
En seconde période, Nice profitait de la bévue de Bajic, pour permettre à Stengs de doubler la mise (0-2, 53'), puis de la passivité de la défense verte pour que Delort inscrive son quatrième but de la saison (0-3, 83').
Le changement c'est maintenant ?
La véritable interrogation à l'issue de cette rencontre, est de savoir si la colère affichée par les supporters aura une suite. C'est d'abord tout un symbole d'entendre les premiers "Puel démission" intervenir lors d'un retour de Christophe Galtier dans le Chaudron. Ensuite, les deux présidents ont été visés par des banderoles, tout au long de la rencontre, dont certaines très dures à l'encontre de Roland Romeyer. Alors comment ce mécontentement sera-t-il accueilli par le groupe stéphanois ? On a une nouvelle fois vu des échanges musclés avec les joueurs, au bas des tribunes à la fin du match.
Il faudra réagir dès dimanche prochain, pour le Derby dans le Chaudron. Sous peine que la situation devienne vraiment intenable pour les principaux acteurs de cette descente aux enfers.