5 raisons de choisir l’apprentissage avec le CFAI Loire-Drôme-Ardèche

Publié : 26 mai 2021 à 12h20 par Fabien Zaghini

[Publi-rédactionnel] Plus d’un demi-million de contrats d’apprentissage ont été signés en 2020 ! La formation en alternance se démocratise et elle s’impose même comme une voie d’excellence dans l’industrie. À Saint-Étienne, Roanne et Valence, le Pôle Formation CFAI Loire-Drôme-Ardèche organise des portes ouvertes le mercredi 9 juin pour sensibiliser jeunes et adultes aux avantages de l’apprentissage du CAP au bac +5.

1. L’industrie est un secteur qui recrute !

260 000 entreprises, plus de 3 millions d’emplois directs : l’industrie française pèse et elle offre des débouchés aux nouveaux venus. Elle couvre une grande diversité d’activités (aéronautique, automobile, agroalimentaire chimie, métallurgie, énergies, etc.) et certains de ses métiers font face à une pénurie de candidats qualifiés. Conséquence : les PME et les grands groupes se tournent massivement vers l’apprentissage pour former des jeunes – aussi bien des hommes que des femmes – et leur garantir un emploi à l’issue de leur cursus. Au Pôle Formation CFAI Loire Drôme Ardèche, 88% des jeunes diplômés sont embauchés dans les six mois !

2. Un contrat de travail et une rémunération à la clé

S’engager dans la voie de l’apprentissage, c’est faire son entrée dans la vie active ! Après la signature de son contre de travail, l’apprenti bénéficie d’une rémunération mensuelle comme n’importe quel salarié. Le montant est variable selon plusieurs critères (âge, niveau de formation, convention collective, etc.). Ces études rémunérées lui permettent de subvenir à ses besoins (logement, repas, loisirs) et ainsi de gagner son indépendance. Pas besoin de job étudiant en parallèle, d’autant que les semaines en entreprise sont évidemment incluses dans le rythme de formation en alternance.

3. Un cursus qui forme à un métier

Là où l’université délivre des connaissances théoriques, le Pôle Formation CFAI Loire-Drôme-Ardèche place les étudiants dans une optique de professionnalisation. Ils découvrent un métier à travers une pédagogie très concrète, bien plus adaptée à des profils qui ne trouvaient pas leur place dans l’enseignement général. Une large place est accordée à la mise en situation professionnelle sur des plateformes techniques, avec des petits groupes de moins de dix étudiants plutôt que des classes surchargées. Le taux de réussite aux diplômes et certifications est de 87%.

4. Un premier pas vers une carrière évolutive

Tourneur, technicien de maintenance, roboticien : l’industrie ouvre la voie à une grande diversité de métiers à valeur ajoutée, très loin de l’image de travail à la chaine véhiculée par les images en noir et blanc du temps du taylorisme. Aujourd’hui, l’industrie est disruptée par le numérique à l’image de l’usinage (fabrication de pièces sur-mesure). Elle offre aux jeunes des perspectives d’évolution de carrière, de l’opérateur de fabrication à l’ingénieur ou au chef d’entreprise. Il est aussi possible d’évoluer à l’horizontal, de la production vers une casquette de technico-commercial par exemple.