Lyon-Saint-Etienne : de nouveaux projets annoncés pour améliorer la mobilité

Des décisions pour améliorer les conditions de déplacements (voitures, vélos...) entre Lyon et Saint-Etienne ont été prises ce mardi. A l'issue d'un "comité stratégique" présidé par la préfète de Région, Fabienne Buccio, il a permis d’y voir plus clair sur les futurs projets. Le but : résoudre les problèmes des liaisons entre la capitale ligérienne et celle du Rhône.

Une augmentation dès 2026 du nombre de places dans les trains entre les deux métropoles a été actée. Un programme ferroviaire complémentaire sera mis en place à compter du 1^er trimestre 2024. La nature de ce programme n'est pas précisée. 

A cela va s’ajouter le déblocage d’une enveloppe de 5 millions d’euros de l’Etat pour le vélo. L'objectif est de favoriser son utilisation, tout en sécurisant le stationnement en gares. Un autre fonds spécifique de 6 millions d’euros sera dédié au covoiturage avec "la mise en place de lignes fortes de covoiturage entre Lyon et Givors" précise la Préfecture de Région. La réalisation d’une voie réservée au covoiturage et aux transports en commun, sur l’A7 entre Ternay et le boulevard urbain Sud lyonnais, va voir le jour d’ici la fin de l’année.

Concernant la jonction, A47, A72, RN88, différents aménagements vont être menés d’ici 2026. Cela concerne les échangeurs de la Grand Croix (d’ici 2024), du Sardon (d’ici 2025) et la voie d’entrecroisement entre Saint-Chamond et la Grand Croix (d’ici 2026).

A noter qu’un prochain comité de pilotage se tiendra en septembre 2023. Il aura pour objectif d’évoquer les problématiques autour du nœud de Ternay.