Inna Modja en interview pour Love Revolution

Publié : 28 octobre 2011 à 2h53 par Carine

<em>Love Revolution</em> est le nouvel album de cette petite douceur musicale nommée Inna Modja. Rencontre avec la star de <em>French Cancan (Monsieur Sainte Nitouche)</em>.

Salut Inna ! Comment vas-tu (Albin Schmitt pour Activ Radio) ?Inna Modja : Bonjour Albin ! Je vais très bien, merci.Inna, avant d'évoquer Love Revolution, ton second opus après Everyday Is A New World, peux-tu revenir au temps de ton enfance en dressant un portrait de toi lorsque ta mère te surnommait déjà « Modja » ?J'ai grandi dans une famille de sept enfants, je suis la sixième. Grâce au travail de mon père, nous avons beaucoup voyagé. J'étais une enfant qui débordait un peu trop d'énergie et de curiosité d'où mon surnom affectueux Modja, qui signifie « petite peste » en peul.A 15 ans déjà, tu rêvais d'une carrière de chanteuse. Cette ambition profonde t'a poussé à aller à la rencontre du chanteur malien le plus respecté, Salif Keïta. Dans quel but ?Je suis allée voir Salif Keïta quand j'avais 15 ans parce que je voulais en savoir plus sur la musique étant donné que dans ma famille on en écoutait beaucoup mais il n'y avait pas d'artiste. Il m'a prise sous son aile et m'a un peu guidée. Il m'a envoyée auprès du Rail Band de Bamako et j'ai été leur chanteuse pendant un an.Avant de te lancer officiellement dans la chanson en signant chez Warner Music France en 2007, tu as fait des études de lettres, une école de commerce et même du mannequinat en parallèle, pendant huit ans. Pourquoi as-tu opté pour une carrière de chanteuse plutôt que de continuer tes activités comme modèle ?Je suis chanteuse avant d'être mannequin. C'était important pour moi d'avoir un diplôme et une qualification mais la musique a toujours été une passion et une priorité. J'ai été mannequin parce que j'en ai eu l'opportunité mais c'était un boulot comme un autre qui me permettait d'être indépendante financièrement.Visionnez le clip d'Inna Modja, Life (reprise de Des'ree) :